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Enjeu des présidentielles 2007 : la France en "locomotive" du Monde !

L'avantage – pour autant que l'on puisse s'exprimer ainsi - de la grippe aviaire sur de nombreux autres risques, le risque d'une pénurie de certaines ressources par exemple, tient dans le fait que la menace d'être affecté par cette pandémie existe pour tout le monde sans que quiconque ait le loisir de jouer cavalier seul pour y échapper.
Cet "avantage" illustre avec force notre communauté de destin.
Tandis que face à d'autres risques, la raréfaction de ressources minérales ou énergétiques, par exemple, certains utiliseront une infinité de stratagèmes et parviendront à conserver leurs approvisionnements : le règne du "chacun pour soi" creusera les différences et les inégalités, accroîtra les sources de conflits et de déséquilibres avec des répercussions néfastes pour tous à terme.
Pourtant les impasses qui nous attendent tous nous le disent : notre destin est commun, nous ne lui échapperons pas.

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Politique économique, sociale et industrielle : inventer une autre croissance

La croissance de la consommation de biens matériels, à l'heure actuelle, est synonyme d'une captation de ressources de la part des "plus forts" au détriment des "plus faibles" et, vu le caractère fini, non extensible, d'un certain nombre de ressources, tous nos discours sur le développement des pays les plus pauvres se heurte à cette problématique :
- soit nous poursuivons notre croissance avec la structure que nous lui connaissons aujourd'hui (captation de ressources finies) ET nous maintenons dans leur état de grande pauvreté matérielle un très grand nombre de pays. Cette volonté de poursuivre notre croissance sous cette forme implique clairement que nous ne souhaitons pas que ces pays deviennent des concurrents plus efficaces : ils doivent donc rester pauvres et faibles.
- soit nous adoptons un style de croissance largement indépendant de ces ressources finies.

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Allocation d'existence : une politique économique et sociale forte

Un salaire garanti et inconditionnel pour tous pour redynamiser notre économie et éradiquer la pauvreté.

Fixé environ à 650 euros par mois pour les plus de 18 ans et à 150 euros par mois pour les mineurs, le revenu d’existence est un pécule donné à chacun sans contrepartie de travail. Conçu par le monétariste Milton Friedman dans les années 70, le revenu d’existence a été repensé par de nombreux philosophes et économistes, notamment André Gorz, Alain Lipietz ou Yolland Bresson. Calculé proportionnellement au Produit Intérieur Brut, il est partiellement ou totalement imposable suivant les revenus du travail de chacun. Autrement dit, si la rémunération d’un individu est élevée, le revenu d’existence sera repris quasiment intégralement par l’impôt.

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Immigration choisie : Sarkozy en tombeur des trouillards... ?

Rappelons qu'il y aurait eu depuis 1945 environ 70 lois majeures sur l'immigration (source : le 7 Mai 2006 un des participants à "L'esprit public" de Philippe Meyer, une émission dominicale de France Culture qu'il ne faudrait manquer à presque aucun prix...) avec les résultats que l'on sait, tant sur le tarissement de certains flux que sur l'ambiance générale vis à vis de cette question.
Et M. Sarkozy sait fort bien que son nouveau texte n'aura qu'une efficacité marginale mais bien poudré il présente un visage avenant à certains...
Encore un raisonnement très criticable et l'on en vient à se demander s'il peut être légitime de soigner la pathologie des uns (la peur que ressent probablement une part de l'opinion publique) par une médecine qui aurait des effets autrement plus néfastes que cette peur, mais chez d'autres personnes car, de plus, il pourrait s'imaginer bien d'autres solutions pour résorber cette peur.

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Biocarburants : le mauvais choix de la France

Au mépris de l'efficacité énergétique

Le gouvernement a décidé que nos carburants automobiles contiendraient de plus en plus de biocarburants, issus de l'agriculture.

Il mise sur des filières lourdes basées notamment sur la betterave et le maïs qui auront des rendements très bas et nécessiteront la construction de très grosses unités de production.

La filière des huiles végétales pures (HVP, ou brutes, HVB) est, elle, sous le coup d'une loi qui interdit l'utilisation de ces produits pour la circulation automobile et place notre pays en contravention avec la législation européenne.

C'est pourtant la filière qui offre les meilleurs rendements, qui permettrait une meilleure efficacité énergétique globale et la création d'un plus grand nombre d'emplois.

Voir le dossier : Biocarburants, le mauvais choix de la France

Moteur de recherche sur la constitution européenne

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